Shekulli
L’Albanie dans l’Otan : une chance, mais aussi des devoirs et de lourdes charges
L’Albanie a été invitée à rejoindre l’Otan lors du Sommet de Bucarest. Toute la classe politique se félicite de cette décision, qui comporte une série de bénéfices mais aussi de contraintes pour le pays, l’État et tous les Albanais. Commentaires et analyses de l’ancien ministre des Affaires étrangères Kastriot Islami, de l’ancien ministre de la Défense Luan Rama, du diplomate Pëllumb Xhufi et du président de la Commission parlementaire de la sécurité Leonard Demi.
Par Fejzi Braushi
L’Albanie profitera, bien sûr, de cette invitation à rejoindre l’Otan puis de son intégration effective, tout d’abord du point de vue économique, même si cela ne se fera pas sentir directement dans la vie quotidienne des citoyens. Tous les responsables politiques interviewés estiment que la sécurité et la stabilité du pays profiteront de la garantie représentée par l’adhésion à l’Alliance atlantique.
Selon Kastriot Islami, ancien ministre socialiste des Affaires étrangères, l’Albanie obtient ainsi un passeport important pour une nouvelle image, qui l’aidera à attirer des investissements sûrs et importants. « (…)
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