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Kosovo : bras de fer entre l’administration internationale et le TMK

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Les officiers du Corps de protection du Kosovo (TMK) sont accusés d’être liés au crime organisé et à la nouvelle guérilla de l’ANA. Certains ont subi des sanctions administratives, tandis que des rumeurs évoquent un remplacement d’Agim Ceku à la tête de cette unité. Pour le publiciste Baton Haxhiu, la MINUK doit choisir entre un compromis avec Agim Ceku et le chaos.

Par Baton Haxhiu Agim Çeku, le chef du TMK, est en danger. C’est ce qu’on peut constater à la lecture de la déclaration conjointe de la MINUK, la KFOR et des cinq représentations diplomatiques les plus importantes, qui porte de lourdes accusations contre cette unité. Ces trois institutions ont déclaré ensemble la même chose et ont violemment accusé les officiers du TMK d’être impliqués dans trois dossiers très sensibles : le crime organisé, la nouvelle guérilla de l’Armée nationale albanaise (ANA) et le soutien logistique de l’attaque contre le pont du chemin de fer au nord du Kosovo, il y a quelque mois. Le général Agim Çeku a (…)

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