La Serbie et la crise en Macédoine : vigilance et manipulation politique

| |

Pour le Premier ministre serbe Aleksandar Vučić, le bénéfice des incidents de Kumanovo est double. Côté pile, en s’abstenant de toute déclaration politique incendiaire, le gouvernement souhaite montrer à Bruxelles et à Washington qu’il est un facteur de stabilité régionale. Côté face, les médias à la botte du régime mobilisent l’opinion publique en agitant le spectre d’une nouvelle guerre au nom de la « Grande Albanie ».

Par Dragan Janjić

Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !

S'abonner      Identifiez-vous