Ta Nea, Kathimerini, Eleftherotypia

Crise en Grèce : le Parlement vote l’austérité, la rue gronde

| | | |

Au bord de la banqueroute, de l’aveu du gouvernement, la Grèce a approuvé in extremis le nouveau budget d’austérité imposé par la troïka, Fonds monétaire international, Commission européenne et Banque centrale européenne. Place de la Constitution, des milliers d’Indignés protestaient dans le calme. Une fois l’issue du vote connue, la situation a très vite dégénéré et la police a usé de gaz chimiques. La Grèce aura son aide de l’Union européenne, mais la rue n’a pas dit son dernier mot.

De nombreux incidents ont émaillé les journées des mardi 28 et mercredi 29 juin, lors des manifestations prévues pour appuyer la grève générale de 48 heures décidée par les deux syndicats majoritaires du privé et du public, ainsi que par la centrale communiste PAME. Retrouvez notre dossier : Crise en Grèce : la sortie du tunnel n’est pas pour demain La journée de mardi s’est déroulée en deux actes : premier acte du milieu de journée à la fin d’après-midi, et deuxième acte le soir, quand la tension est remontée d’un cran pendant que se tenait un concert programmé par les Indignés sur la place de la Constitution. Quatre heures de (…)

Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !

S'abonner      Identifiez-vous