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Et nos « indispensables » de l’été
• La mostarghia. C’est ainsi que Maya Ombasic a baptisé le mal qui a tué son père. La mostarghia, c’est la nostalgie dévorante dont cet homme a souffert depuis qu’il a dû quitter sa ville, Mostar.
Maya Ombasic, Mostarghia, Paris, Flammarion, 2017, 250 pages
• L’été 1991, les Serbes, les Bosniaques, les Croates commencent à se foutre sur la gueule et vingt ans plus tard on me demande d’imaginer un monument qui ne soit ni serbe ni bosniaque ni croate pour cette guerre oubliée plus que terminée... Un roman graphique de Mathias Enard.
• Un émissaire est envoyé sur Terzola, l’île la plus isolée de la mer Adriatique. Sur place, à peine l’eau et l’électricité, pas un seul réseau téléphonique ni de connexion Internet, deux églises mais pas de prêtre. Sa mission, et punition : organiser, en tant qu’émissaire du gouvernement croate, des élections locales. Ses sept prédécesseurs ont échoué.
• Paru à Belgrade en 1962, Psaume 44 raconte le projet d’évasion de Maria, une jeune femme prisonnière d’un camp de concentration allemand. Le récit suit le cours de ses pensées dans les heures qui précèdent sa fuite. Il s’agit du premier livre de Danilo Kiš, enfin disponible en français.
• Fin des années 30, en Grèce. La dictature militaire s’installe et les libertés fondent comme neige au soleil. L’esprit frondeur de Stavros, amateur de jolies filles, de hachisch, (et vendeur occasionnel) a du mal à se plier aux lois en vigueur. Il retrouve son ami Markos à sa sortie de prison. L’aventure du rebetiko en BD.