À la frontière entre la Grèce et la Macédoine, le « tri » des migrants profite aux réseaux mafieux

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Cet hiver, malgré le vent et le froid, 1 000 à 3 000 réfugiés arrivent tous les jours dans le nord de la Grèce. Mais seuls les Syriens, les Afghans et les Irakiens peuvent passer. Pour les autres, dits « illégaux », la route des Balkans s’arrête ici et il leur faut faire appel aux trafiquants pour espérer avancer. Les autorités et les ONG redoutent une hausse exponentielle du nombre de candidats à l’exil dès le retour de températures plus clémentes.

Par Jean-Arnault Dérens, Laurent Geslin & Simon Rico

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