La révolution roumaine 30 ans après : faire disparaître les traces de la répression

| |

C’est l’une des opérations les plus macabres de la révolution roumaine de 1989. Son nom de code : « Trandafirul », « la rose ». L’objectif était de faire disparaître les cadavres des victimes de la répression du 17 décembre. Une manipulation qui fut le déclencheur de la fameuse affaire des « charniers de Timișoara ». Retour sur les lieux du crime.

Texte : Florentin Cassonnet / Illustration : Ophélie Paris

Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !

S'abonner      Identifiez-vous