Kosovo : sans justice ni réconciliation, pas de dialogue possible

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Alors qu’on attend les premières accusations de la nouvelle Chambre spécialisée pour les crimes de guerre au Kosovo, les dirigeants de Pristina n’ont aucune envie d’ouvrir le lourd dossier des personnes portées disparues. Comme leurs homologues serbes, ils préfèrent alimenter les discours de haine. Faute de justice et de réconciliation entre Pristina et Belgrade, le dialogue a-t-il un sens ?

Propos recueillis par Bekim Bislimi

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