Entre deux mondes, la vie suspendue des femmes immigrées en Grèce

| |

Anna, Maria et toutes les autres. En Grèce, elles sont des milliers à venir d’Albanie, de Bulgarie, de Moldavie, de Pologne ou de Roumanie et à travailler à domicile auprès de personnes dépendantes. La plupart d’entre elles n’ont aucun contrat de travail et se saignent pour envoyer un peu d’argent à leurs familles restées au pays. Reportage.

Traduit par Florentin Cassonnet

Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous ou identifiez-vous !

S'abonner      Identifiez-vous