Kosovo 2.0

1. Entre Albanie et États-Unis : Ani Gjika, la langue de l’exil et la langue de la poésie
2. Kosovo : à Prizren, la tradition sans cesse réinventée du filigrane
3. Des femmes simples : comment le cinéma montre-t-il les héroïnes des Balkans ?

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  Entre Albanie et États-Unis : Ani Gjika, la langue de l’exil et la langue de la poésie

  14 avril 2024

  Elle a passé son enfance en Albanie, auprès d’une grand-mère qui pratiquait le protestantisme en cachette, avant de suivre ses parents émigrés aux États-Unis... Écrivaine et traductrice de poésie, Ani Gjika parle de la violence patriarcale, des langues et de l’exil. Rencontre.

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  Kosovo : à Prizren, la tradition sans cesse réinventée du filigrane

  31 mars 2024

  La tradition du filigrane d’or et d’argent est attestée à Prizren depuis le XIIIe siècle avant de se développer tout au long de la domination ottomane. Depuis la fin de la guerre, la coopérative qui maintenait la tradition a été privatisée, mais de nouveaux artistes viennent se former. Pour faire naître des oiseaux de rêve d’un simple fil d’argent.

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  Des femmes simples : comment le cinéma montre-t-il les héroïnes des Balkans ?

  8 mars 2024

  Contrairement aux héroïnes des films hollywoodiens, celles des Balkans ressemblent à des femmes ordinaires, pas toujours toutes jeunes, parfois désagréables et même peu séduisantes. Mais elles mettent en lumière les défis auxquels elles sont confrontées dans une société patriarcale. Être une femme simple, quel courage !